Compte-rendu de la réunion du 14/05/2025 concernant la problématique du Bassin de rétention Chemin Sainte Colombe.
Etaient présents : MM Duroy-Duguet et Deleemer de la métropole, MM Favrel, Tordjeman et Louis Raillon.
Phase 1 : Clarification sur place et rebouclage avec le cadastre des propriétaires (ci-joint Bilan propriétaires bassin et en amont avec constatations et avis). La zone cadastrée parcelles 39,288,289 incluant entre autres le bassin est cadastrée propriété de ‘Com Commune Cagnes sur mer’. L’entreprise d’entretien envoyée par la métropole ne faisait par défaut que la partie profonde du bassin de rétention, sans le déversoir, ni la partie haute.

Conclusion : La responsabilité d’entretien végétation par la métropole de toute cette zone cadastrée incluant entre autres le bassin est reconnue, avec même un accord pour prévision de passage de l’entreprise en charge typiquement d’ici 1 mois.
Phase 2 : Constatation sur place bien en amont du bassin de 2 grilles de regard
Photo 1er regard en amont de l’arrêt bus et voiture blanche : Il y a un busage enterré en profondeur en amont du bassin, avec faible ruissellement au fond et surverse entre 2 grosses buses de fort diamètre. La captation EP est un peu distante du chemin est très mauvaise.

Photo second regard encore au dessus : La captation EP du chemin est encore plus mauvaise de par des rebords en limite de voirie bien visibles.

Photo sortie buse enterrée : en limite basse parcelle 40 (Mme Pastre) dans ravinement profond entre 41 et

L’opinion de M. Duroy-Duguet est que ce gros busage le long de Sainte Colombe a été fait lors et pour des constructions par un promoteur. Il n’est pas référencé de responsabilité métropole. Il passe dans du privé, légèrement décalé en parallèle de la chaussée, sans une bonne préoccupation de captation EP chemin, et de fait constitue l’alimentation principale du bassin public qui devrait servir a amortir les grosse pluies !
M. Favrel indique l’existence d’un troisième regard encore plus haut en bordure vers la limite haute du lotissement.
M. Favrel montre aussi par la suite le bassin de rétention privé réalisé lors de son lotissement au dessus du bassin public.
Conclusion : Il est en tout cas reconnu particulièrement dommage d’avoir un tel gros busage enterré existant captant si mal l’EP du chemin, et donc créant un net ravinement à la fois en bord de chaussée et un important ravinement surface au niveau des parcelles 40/95 (maintenant Mme Pastre). Un aménagement pour améliorer la captation EP du chemin, empêché par les rebords de chaussée vers les 3 regards existants dépend du service voirie métropole (M. Olivier Boismard ?)
Phase 3 : Constatation sur place proche du déversoir bassin (parcelles 41 et 40).
Les parcelles sont certes privées mais fortement ravinées (trait bleu clair) entre 41 et 386 et entre 40 et 289, ainsi que en bord de chaussée(trait rouge). L’EP du chemin est mal capté entre autres par les 3 regards le long trait bleu foncé mais aussi par la géométrie du terrain bombé entre chaussée et ravinement proche du déversoir.
Il faut donc un regard complémentaire de captation EP chemin vers le bassin à ce niveau pour éviter ces ravinements en surface.
Après discussion, M. Tordjeman présent sur place indique son accord pour qu’un busage enterré soit fait en limite basse de sa parcelle 41 entre un regard en bord de chaussée et une verse dans le ravinement existant, en conservant l’accès pour parking en surface. Le renforcement en face de cette arrivée d’EP le long du grillage privé (parcelle 386) sera à prévoir.
Conclusion : Un accord est donc à formaliser pour réalisation avaloir EP chemin et busage vers écoulement bassin en limite basse parcelle 41 (M et Mme Tordjeman)
Phase 4 : La fin de visite sur place est passée par la parcelle 386 du lotissement confirmant le net besoin d’élagage de la partie haute de la zone sous responsabilité métropole, ainsi que l’accord de M. Favrel pour faire passer les engins métropole d’entretien pour accès commode si besoin.
Conclusion : Une amélioration du grillage par endroits autour de cette zone sous responsabilité métropole permettra sa stabilité en limite du ravinement. En sécuriser l’accès, sauf par passage du matériel d’entretien est souhaitable, et possible avec accord d’accès du lotissement formalisable.